LOCAL ACCES LIVE | Atmaa + Sylvian + Le Survol du Bourdon
Sam. 12 avril 2025
16 avenue Arthur Gaulard, 25000 Besançon
Ouverture des portes : 20h
Prix libre : PAR ICI | Billetterie reversée en heures de répétition aux groupes !
Attention, l’adhésion spectateur·rice à l’association Le Bastion n’est pas incluse dans le billet. Sur place, à partir de 1€.
ATMAA
Trio aux influences néo chamaniques et world spiritual, l’univers d’Atmaa est teinté de magie. Il vient toucher votre monde intérieur et vous emporte dans un voyage sonore rituel et chaleureux, parfois proche de la transe.
Fusion de styles et expression puissante de notre part créatrice et spirituelle, les oeuvres d’Atmaa vous plongent au coeur du son. C’est la vibration intime de l’âme qui s‘exprime au travers de la langue elfique et du langage intuitif. La musique médecine est résonnance chez Atmaa.
SYLVIAN
Guitariste autodidacte depuis une dizaine d’années, Sylvian à appris à allier sa pratique de la batterie et son envie de mélodie sur une guitare folk.
S’inspirant avec respect de solistes tels qu’Antoine Dufour, Andy Mckee, Mike Dawes et bien d’autres, il participe humblement au renouveau de la guitare acoustique, en alliant un apprentissage incessant de nouvelles techniques, et une recherche de son puissant sur scène.
Le plus intéressant pour lui étant de repousser les limites d’un instrument fini, en une infinité de mélodies.
LE SURVOL DU BOURDON
LE SURVOL DU BOURDON est un groupe bisontin de six musicien·nes amateur·ices (flûte, clarinette, saxophone, clavier, basse et batterie), parfois rejoints par des guests au micro.
Le groupe a maturé en cave pendant 10 ans, jouant des reprises (John Lurie, Chilly Gonzales, Mister Modo…) et des compositions tirées d’improvisations, entre jazz, rap et salsa inopinée.
Ses membres ont en commun le soundpainting, l’amour des dissonances et de l’instant fragile. On dit de leur musique qu’elle est cinématographique, qu’elle crée des paysages. Elle est garantie sans clic.
Sorti de l’humidité souterraine pour fureter dans les couloirs infinis du Bastion, à la poursuite de l’exploration musicale faite d’impros libres, d’intros libres et de libres cris, tapis dans l’ombre des doubles-pédales voisines.